jeudi 30 octobre 2008

Mangez des fibres pour avoir moins faim et maigrir sans peine

Manger des fibres a de nombreux avantages : cela favorise la satiété (l'inverse de la faimm), cela améliorer le transit intestinal et cela va vous aider à maigrir sans peine !

C'est quoi un régime riches en fibres ?

C'est une assiette faite de céréales complètes si possible (pain gris, aux céréales ou complet, flocons d’avoine, riz blanc), légumineuses (lentilles, haricots blancs ou rouge, pois chiche, lentilles) ou des fruits (poires, amandes, pruneaux, bananes).

Toutes les études montrent depuis longtemps que les fibres protègent de l'apparition des cancer du côlon et de l’intestin grêle.

lundi 27 octobre 2008

La déficience en vitamine D favoriserait l'apparition de la maladie de Parkinson

Selon un rapport des Drs Marian L. Evatt, M.D'et collègues, paru dans le journal médical Archives of Neurology d'octobre 2008, les patients souffrant de maladie de Parkinson seraient plus déficients en vitamine D que les personnes adultes du même âge ou que les patients souffrant de maladie d'Alzheimer.

La vitamine D'est importante pour maintenir beaucoup de fonctions physiologiques et la déficience en vitamine D'est associée avec l'augmentation du risque de maladies.

Les patients ayant des maladies neurodégénératives chroniques sont plus fréquemment en insuffisance de vitamine D, en liaison soit avec leur âge avancé, l'obésité, la non exposition au soleil, le fait de résider dans les régions plus nordiques ou d'avoir une peau plus sombre.

La concentration moyenne en vitamine D dans le groupe souffrant de maladie de Parkinson fut de manière considérable plus faible que chez les malades souffrant de maladie d'Alzheimer ou que chez les personnes en bonne santé (31,9 ng versus 34,8 et 37 ng par millilitre respectivement).

En conclusion l'incidence élevée d'insuffisance en vitamine D chez des patients souffrant de maladie de Parkinson accentue l'importance de vérifier par habitude le niveau de vitamine D'en particulier chez les patients âgés puisque l'insuffisance est fortement corrélée avec une incidence plus élevée d'ostéoporose, de chutes, de fractures et a été associée à une incidence plus élevée de plusieurs formes de cancer et de désordres autoimmuns.

Pour plus d'informations : http://www.eurekalert.org/pub_releases/2008-10/jaaj-vdd100908.php

vendredi 17 octobre 2008

L'obésité serait liée à une réaction trop faible des centres du plaisir du cerveau

Une activation trop faible des centres du plaisir dans le cerveau en mangeant pourrait contribuer à l'obésité, selon des travaux de chercheurs américains publiés jeudi.

Bien que les résultats de récentes études laissent penser que les obèses pourraient éprouver moins de plaisir en mangeant que des personnes normales, absorbant pour compenser plus de nourriture, cette recherche est la première à mettre en évidence ce lien biologique, explique Eric Stice, un psychologue de l'université du Texas (sud), principal auteur de cette étude.

Cette recherche a montré à l'aide d'un système d'imagerie du cerveau, que le degré d'intensité de la réaction des circuits cérébraux liés au plaisir en réponse à la consommation d'une boisson lactée glacée au chocolat, peut aider à prédire chez des jeunes femmes celles qui vont prendre du poids.

Ce phénomène était particulièrement net chez les sujets ayant une variation génétique dans les centres cérébraux du plaisir qui réduit la production de dopamine, soulignent les chercheurs dont les travaux paraissent dans la revue américaine Science datée du 17 octobre.

La première étude a porté sur 43 étudiantes de 18 à 22 ans avec un indice de masse corporelle (IMC) médian de 28,6 et la seconde sur 33 adolescentes de 14 à 18 ans avec un IMC médian de 24,3.

Cette recherche à laquelle ont participé des chercheurs de l'Oregon Rersearch Institute (nord ouest) et l'Université de Yale (Connecticut, est), a été financé en partie par les Instituts nationaux américains de la Santé (NIH).